La défaite définitive du Front populaire a lieu en septembre-décembre 1938 avec l'arrivée au pouvoir d'Édouard Daladier, qui s'allie avec la droite plutôt qu'avec la SFIO. Au-delà de Blum ou Daladier, ce sont les présidents du Conseil et les membres du Front populaire qui sont visés. Le socialiste Marceau Pivert (1895-1958) exhorte Blum à prendre le pouvoir immédiatement, en se basant sur cette mobilisation populaire et sans attendre la passation de pouvoir officielle. Le gouvernement est alors composé seulement de socialistes et de radicaux, les communistes le soutenant de l'extérieur. » et « On va le pendre ! Blum est cependant battu aux élections législatives de 1928 dans le département de la Seine par Jacques Duclos et il doit attendre une élection partielle en 1929, à Narbonne, pour retrouver le Parlement grâce à l'appel de la fédération de l'Aude dirigée par Eugène Montel. L'accord conclu le 27 juillet n'avait pas de finalité électorale directe, mais était orienté vers l'action. Après l'élection, le 11 novembre 1946, d'une nouvelle assemblée nationale, son président, Vincent Auriol, qui exerce en fait les fonctions de chef de l'État, sollicite Léon Blum le 12 décembre pour diriger le dernier gouvernement provisoire, du 16 décembre 1946 au 16 janvier 1947 (c'est le gouvernement dit « de la Saint-Sylvestre », premier gouvernement uniquement composé de socialistes). « Histoire », 2016, 272 p. gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8233318/f1.item, « Sionisme et socialisme : nous nous sommes tant aimés », Voir la notice dans la salle des inventaires virtuelle des Archives nationales, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, Histoire de la gauche française de 1919 à 1939, Pacifisme en France dans l'entre-deux-guerres, Notice du fonds de la Société des amis de Léon Blum, Ministres français des Affaires étrangères, Portail de la culture juive et du judaïsme, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Léon_Blum&oldid=179783848, Naissance dans le 2e arrondissement de Paris, Président du Conseil de la Troisième République, Chef du Gouvernement provisoire de la République française, Ministre français des Affaires étrangères, Député de la Seine (Troisième République), Député de la douzième législature de la Troisième République, Député de la treizième législature de la Troisième République, Député de la quatorzième législature de la Troisième République, Député de la quinzième législature de la Troisième République, Député de la seizième législature de la Troisième République, Personnalité de la Ligue française pour la défense des droits de l'homme et du citoyen, Personnalité de la Section française de l'Internationale ouvrière, Déporté au camp de concentration de Buchenwald, Personnalité ayant fait l'objet d'obsèques nationales en France, Parlementaire ayant voté contre les pleins pouvoirs à Philippe Pétain, Article manquant de références depuis janvier 2017, Article manquant de références/Liste complète, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Page pointant vers des bases relatives à la vie publique, Page pointant vers des bases relatives à la recherche, Page pointant vers des bases relatives à la musique, Page pointant vers des bases relatives aux beaux-arts, Portail:Politique française/Articles liés, Portail:Seconde Guerre mondiale/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Politique, Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Il existe de nombreux établissements scolaires nommés Léon Blum : des lycées (. Il tient la chronique théâtrale à Comœdia et attire l’attention dès son premier livre Nouvelle… Comme dans les manifestations du Front populaire on a entendu, hier, des chants et des cris, mais, Dieu merci, ce n’étaient pas les mêmes ! Ainsi, selon Serge Berstein, « le véritable critère de ses critiques est politique. Ce dernier verbe paraîtra un peu fort de café : je me hâte d'ajouter qu'il ne faudra abattre physiquement Blum que le jour où sa politique nous aura amené la guerre impie qu'il rêve contre nos compagnons d'armes italiens. Il participe aux côtés de Jaurès à la fondation de L'Humanité en 1904, journal dans lequel il tient la rubrique littéraire[18]. Le 24 avril 1945, devant l'avance alliée, les Allemands emmènent Léon Blum et sa femme dans un convoi de plus de 130 prisonniers et le 28 avril 1945, ils se retrouvent dans un hôtel à Niederdorf en Tyrol du Sud, où, le 30 avril, ils voient les premiers soldats américains[59]. Il y rencontre André Gide[9] ; à l'âge de 17 ans, il publie ses premiers poèmes dans une revue créée avec celui-ci. Ses inclinaisons politiques ne sont pas sans avoir d'effets sur ses critiques littéraires. Sur le plan intérieur, le gouvernement Blum parvient à résoudre la crise sociale. Lors du congrès de Tours de 1920, Blum refusa de suivre la majorité en faveur de l'adhésion à la Troisième Internationale. Finalement, Lucien Herr réussit à le convaincre qu'Alfred Dreyfus a été injustement condamné[15]. Léon Blum vit ensuite à partir de 1940 avec Jeanne Lévylier, (ancienne épouse d'Henri Torrès et d'Henri Reichenbach), qu'il épouse en troisièmes noces en 1943 au camp de Buchenwald[68], où elle avait demandé à le rejoindre. En raison de son image de dandy, il fait l'objet de caricatures homophobes parfois « particulièrement obscènes »[19]. Les attaques contre le Front populaire et ses figures sont particulièrement nombreuses et d'une rare violence. » L'historien Frédéric Monier relève également que des « journaux d'extrême droite évoquent « l'incident Blum » et cherchent à en minorer la violence, voire à en justifier l'éclatement. Je vous dis cela parce que c’est sans doute la dernière fois que je m’adresse à beaucoup d’entre vous et parce qu’il faut pourtant que cela soit dit. Un portrait, Paris, Éditions du Seuil, coll. Léon Blum lui-même a prononcé cet acte de foi : « Juif français, né en France d’une longue suite d’aïeux français, ne parlant que la langue de mon pays, nourri principalement de sa culture, m’étant refusé à le quitter à l’heure même où j’y courais le plus de dangers, je participe cependant à l’effort admirable miraculeusement transporté du plan du rêve au plan de la réalité historique, qui assure désormais une patrie digne, également libre à tous les Juifs qui n’ont pas eu comme moi la bonne fortune de la trouver dans leur pays natal […]. En hommage à sa contribution à la cause sioniste, un kibboutz de Galilée fondé en 1943, est baptisé « Kfar Blum » (le village de Blum)[73]. Mme Jeanne Léon Blum, veuve de l'ancien président du Conseil, est décédée le 3 juillet à Jouy-en-Josas. En 1889, il obtient le second prix du concours général de philosophie et est reçu au baccalauréat. Il est président du groupe SFIO à la Chambre des députés et principal éditorialiste du journal Le Populaire. Biographie courte de Léon Blum Ensuite, il y a la plongée dans le socialisme. Ce qui agissait, c'était la peur : la peur des bandes de, « en tant que Français, socialiste et Juif ». Léon Blum a été, tout au long de sa vie politique un sympathisant avoué du sionisme modéré et plus tard solidaire d'Israël, n'y voyant « aucun heurt possible dans sa triple qualité de Socialiste, de Français et de Juif »[69]. Loin des conventions bourgeoises, il se prononce pour la liberté amoureuse avant le mariage dans son ouvrage Du mariage (1907) qui fait scandale[18]. Lors du congrès d'avril 1919, Blum tente de préserver les acquis démocratiques et républicains de Jaurès et d'insuffler aux Socialistes une approche progressive de la révolution dans les domaines sociaux, économiques et politiques[20]. La peur de Laval, les intimidations du ministre de l'Intérieur Adrien Marquet[53], l'issue de Mers-el-Kébir (3-6 juillet 1940) et le pacifisme peuvent en partie expliquer que la quasi-totalité des 569 élus présents aient voté les pleins pouvoirs, mais Léon Blum est extrêmement affecté de la désaffection de nombre de siens : « […] D'un autre côté, Léon Blum ne peut qu'être frappé par le fait que des centristes, chrétiens ou conservateurs, aient résisté et voté contre le projet Laval »[54]. Léon Blum photographié par Pierre Louÿs, années 1890. Il a toujours soutenu l'effort de guerre et la politique de l'Union sacrée. Issu d'une famille juive d'Alsace, il naît à Paris le 9 avril 1872 et décède à Jouy-en-Josas le 30 mars 1950. Il est mort le 30 mars 1950 à Jouy-en-Josas (France). Léon Blum est né à Paris le 9 avril 1872, d'une famille de bourgeois israélites aisés. Il a collaboré à un documentaire sur Léon Blum en 2010 et a préfacé plusieurs biographies et thèses de Léon Blum. Une vague d'antisémitisme d'une très grande ampleur se manifeste déjà durant les mois qui précèdent l'arrivée de Blum au pouvoir. La Cour suprême de justice est instituée par Pétain, en juillet 1940, pour rechercher les responsables politiques de la guerre. Léon Blum enfant (sous la flèche) et ses frères durant la décennie 1880. Il va y faire une carrière de près de 25 ans, interrompue seulement par ses fonctions de chef de cabinet du socialiste Marcel Sembat, ministre des Travaux publics, de 1914 à 1916. Durant sa détention, Léon Blum entretient une importante correspondance et commence à écrire un ouvrage de réflexions qu'il termine en décembre 1944 et qui sera publié après la guerre sous le titre À l'échelle humaine. Durant les élections cantonales d'octobre 1934, le désistement réciproque accepté pour la première fois fit progresser les deux partis alors que les radicaux régressaient. » TOUCHARD Jean, La gauche en France, 1900-1981, éditions Du seuil, 1977, 413 pages « Quelques attention qu'ait portée Léon Blum à la consolidation de l'entente … Vichy leur reproche notamment d'être responsables de la défaite en ayant empêché le réarmement de la France par la mise en place de réformes sociales. Il fait, à la même époque, ses débuts comme critique littéraire à La Revue blanche et au Gil Blas. Après avoir écrit sur de Gaulle, je me suis intéressé à Blum, d’abord comme un héros de roman. Libéré en mai 1945, Léon Blum est appelé à fonder les institutions de la IVe République, mais ne parvenant pas à obtenir les voix nécessaires, il se retire de l'exécutif et décédera quelques années plus tard. Parmi les socialistes, deux grandes tendances se dessinaient sur le plan international pour lutter contre le fascisme. Pour la première fois depuis la scission de Tours, ils sont liés par un engagement politique mutuel. Après l'épisode du congrès de Tours, Blum n'exclut pas des ententes préélectorales avec les radicaux, la SFIO soutenant d'ailleurs en 1924 le gouvernement radical d'Édouard Herriot sans y participer[23]. En savoir plus sur notre politique de confidentialité. Les uns et les autres, même séparés, restons des socialistes ; malgré tout, restons des frères qu’aura séparés une querelle cruelle, mais une querelle de famille, et qu’un foyer commun pourra encore réunir[22]. Cependant, le 21 novembre, l'Assemblée nationale lui refuse l'investiture par 300 voix sur 619[62]. Léon Blum : dates clés Il est membre du conseil d’administration de la maison Blum - Jean-Noël Jeanneney, historien, auteur de “le rocher du Susten. Il redevient président du Conseil l’année suivante, mais pour seulement un mois. En 1905, il adhère à la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO)[15] au moment de sa création. Ce gouvernement de Front populaire est aussi le premier à comprendre des femmes— deux sous-secrétaires d'État, Irène Joliot-Curie et Suzanne Lacore —, alors qu'à cette époque elles n'ont pas encore en France le droit de voter. Mais dès l'été 1936, il doit faire face à diverses difficultés, parmi lesquelles la dévaluation du franc français à cause de la situation monétaire et la politique financière en général, qui transformèrent l'inquiétude de la droite en opposition résolue. Mais dans des conditions telles que moi, [...] je n'en puis éprouver de joie et que je me sens partagé entre un lâche soulagement et la honte[39]. Léon Blum, au début du XXe siècle, écrivit des critiques de livres et pièces de théâtre. La littérature occupe ses loisirs. Durant la première partie de sa vie, c'est comme écrivain que Léon Blum souhaite être reconnu. Et Pierre Gaxotte dans Candide du 7 avril 1938 : « [Blum] incarne tout ce qui nous révulse le sang et nous donne la chair de poule. L'unité de la SFIO n'éclate pas publiquement avant le vote du 10 juillet 1940 à Vichy mais jusqu'à cette date, la ligne politique pacifiste des « paul-fauristes », tenant l'appareil du parti, s'oppose de plus en plus durement à la résolution du courant blumiste regroupé autour du Populaire et de Georges Monnet[42]. Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire. Lui-même, il est vrai, épousera successivement trois femmes « de bonne éducation » qui n'ont sans doute pas mis en pratique ses recommandations d'écrivain ! Toutefois, tout en s'opposant aux pacifistes, il ne s'identifiait pas pour autant à l'aile droite du parti. Le devoir de réserve qui le lie en tant que membre du Conseil d’État ne lui permet d'agir qu'en coulisse, en donnant aux avocats de Dreyfus et de Zola des conseils juridiques[15]. Lors du vote des pleins pouvoirs à Pétain (10 juillet 1940), il fait partie des quatre-vingts parlementaires de l'Assemblée nationale (sous la IIIe République, nom donné à la réunion des deux chambres) qui votent contre, mais le dirigeant socialiste ne prend pas la parole de crainte que son intervention déclenche publiquement le reniement de la majorité de son groupe parlementaire[51],[52]. Retrouvez toutes les phrases célèbres de Léon Blum parmi une sélection de + de 100 000 citations célèbres provenant d'ouvrages, d'interviews ou de discours. Dans la guerre d'Espagne, Léon Blum est empêché d'intervenir ouvertement par l'opposition des radicaux et du Royaume-Uni, principal allié de la France, sans oublier l'activisme de l'extrême droite et d'une partie de la droite. Lorsqu'à 23 ans il entre au Conseil d'Etat après un diplôme de droit public, il a déjà publié plusieurs essais et plusieurs pièces de théâtre. Réfugié à Colomiers, à coté de Toulouse, chez son ami Eugène Montel, il y reçoit une invitation à partir aux États-Unis de Roosevelt, rencontre de nombreux socialistes (Jules Moch, Vincent Auriol, Daniel Mayer…), entend l'appel du 18 juin mais il y est arrêté le 15 septembre 1940, en dépit de son immunité parlementaire, interné en France au château de Chazeron dans le Puy-de-Dôme, puis à Bourassol, non loin de Clermont-Ferrand. Au début des années 1930, la France entra dans la crise économique. Il poursuit ensuite des études de Lettres à l'université de Paris[10], mais commence aussi des études de droit ; il obtient la licence de droit en 1894[11]. Il a un frère aîné, Lucien, né en 1869, et aura trois cadets : Marcel (1875), Georges (1877) et René (1878)[8]. ». C’est Blum en l’interdisant, qui a changé le caractère de la manifestation. Le bilan du Front populaire est mitigé, mais cette brève expérience permet tout de même un nombre important d'avancées dans de nombreux domaines, en particulier dans le domaine social : congés payés (obtenus à la suite de grèves, mais ils figurent déjà dans la profession de foi de Jean-Baptiste Lebas, futur ministre du Travail[36]), semaine de quarante heures, établissement des conventions collectives, prolongement de la scolarité à 14 ans, etc. C’est en effet en août 1914 qu’il devint chef de cabinet de Marcel Sembat, après avoir été réformé pour cause de myopie. », Blum montre une réelle divergence vis-à-vis des idées du bolchevisme. Les papiers personnels de Léon Blum sont conservés aux Archives nationales sous la cote 570AP[77]. ), d'autre part les opposants de droite et d'[extrême-droite (L'Action française, L'Écho de Paris, L'Ami du peuple, Le Jour, Candide, Gringoire, Je suis partout, etc.). Pour les antisémites, il incarne le « Juif faible », « efféminé »[18]. Elle meurt en 1938 à Paris, dans une clinique de la rue Georges-Bizet, où elle se trouvait pour subir une opération de la vésicule. Jean Lacouture n'indique pas de résultats concernant une licence de Lettres. Cependant, dès l'été 1905, il quitte L'Humanité, devenu le journal du parti, et ne milite plus guère. Notamment, sa conviction que seul le prolétariat constitue l’instrument de la transformation sociale et le refus de prendre en compte les classes moyennes qu'il tient pour un groupe résiduel condamné par l’évolution économique. François Heilbronn, « Pourquoi pas au Panthéon », dans, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Président du gouvernement provisoire de la République française, Section française de l'Internationale ouvrière, Gouvernement provisoire de la République française, département des estampes et de la photographie, élections législatives françaises d'avril/mai 1936, premier gouvernement à dominante socialiste, un qui eut pour ministre de la Guerre le maréchal Pétain. Biographie courte de Léon Blum - Léon Blum est un homme d'Etat français, devenu grande figure des courants socialistes réformistes après la disparition de Jean Jaurès en 1914. Condamné le 16 octobre 1941 par le gouvernement de Vichy, il est détenu dans une prison militaire puis déporté à Dachau, Buchenwald puis Haut-Adige. Dirigeant de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), il est président du Conseil de juin 1936 à juin 1937 et de mars à avril 1938, puis président du Gouvernement provisoire de la République française de décembre 1946 à janvier 1947. Ils visitent la Chambre des députés déserte avant de regagner Montluçon, où ils apprennent que le gouvernement s'est réfugié à Bordeaux. Charles Maurras, « La Politique. De très nombreux hommages ont été rendus dès hier à la mémoire de M. Léon Blum, tant en France qu'à l'étranger. Principal artisan du Cartel des gauches de 1924, Léon Blum condamne avec vigueur les thèses néo-socialistes de 1933, avant d'imposer les principales mesures sociales (congés payés, semaines de 40 heures, etc.) La femme juive qui est allée à Buchenwald pour épouser Léon Blum "Je ne rêve que de vous" raconte l'histoire de Jeanne Reichenbach durant la Seconde Guerre mondiale, qui a … Décision qui a reçu l'accord de Léon Blum lui-même. Le 8 novembre 1948, Léon Blum dépose à la barre des témoins lors du procès de la Cagoule, organisation clandestine d'extrême droite. Tous ces éléments ont participé à son émergence. La dernière modification de cette page a été faite le 10 février 2021 à 20:09. Le 25 septembre 1936, Blum signe avec Londres et Washington un accord monétaire plaçant la valeur du franc entre 43 et 49 milligrammes d'or contre 65,5 milligrammes précédemment[37]. Léon Blum entouré de ses frères, vers 1890. Les accords Matignon sont signés dans la nuit du 7 au 8 juin 1936. Il y a cependant une aide clandestine, organisée par Pierre Cot et Jules Moch. Ses activités littéraires reprennent le pas sur ses activités politiques. ». « Léon Blum est un des hommes qui ont été le plus attaqués pendant toute sa carrière.