Le résultat est validé par le Conseil constitutionnel, et le décret d'application de la nouvelle Constitution est signé par Abdelmadjid Tebboune le 30 décembre 2020[82]. Akram Belkaïd estime pour sa part que « c'est le retour à l'ordre de fer, le même qui, dans les années 1970, imposait à toutes les Algériennes et tous les Algériens de la boucler et de filer droit »[94]. Le Président algérien, Abdelmadjid Tebboune, vient d’annoncer la dissolution de l’Assemblée Populaire Nationale (ANP), et propose des élections législatives anticipées. La période de confinement se prête à l'acharnement policier et judiciaire. Remplissez le formulaire pour vous inscrire, Entrez les détails pour réinitialiser le mot de passe, Omar Alilat, présenté comme le principal financeur de sa campagne électorale, Soutien de l’armée : Le torchon brûle entre Tebboune et Mihoubi, Algérie – France : Macron annonce son soutien aux réformes de Tebboune, Remaniement partiel en Algérie : Voici la liste des nouveaux ministres. Les autorités algériennes annoncent en octobre 2020 qu’Abdelmadjid Tebboune est infecté par la Covid-19[112]. L'historienne Karima Direche indique : « La pandémie est du pain bénit pour le pouvoir en place qui bénéficie d'une chance insolente. Les membres de la chambre basse du Parlement avaient été élu en 2017, lorsque les alliés d'Abdelaziz Bouteflika, prédécesseur de Abdelmadjid Tebboune, bénéficiaient de la majorité. Abdelmadjid Tebboune devient président de la République algérienne démocratique et populaire et prête serment le 19 décembre 2019[46]. Le lendemain, le 29 décembre, il nomme Belaïd Mohand Oussaïd ministre conseiller à la Communication, porte-parole de la présidence de la République[58]. Abdelmadjid Tebboune s’est entretenu, ce mercredi 27 janvier, avec son homologue tunisien pour s’enquérir de son état de santé, a indiqué un communiqué de la présidence de la République. Lors de sa première conférence de presse après son élection, Abdelmadjid Tebboune déclare tendre la main au Hirak et prône le dialogue[45]. Son père est un cheikh membre de l'Association des oulémas musulmans algérienset également un militaire. Le 23 juin, il reconduit le Premier ministre et la plupart des ministres sortants. Il ordonne également la réouverture des aérogares inexploitées à travers le pays[54],[55]. Le 7 mai 2020, il décrète le 8 mai « journée de la mémoire » des massacres de Sétif, Guelma et Kherrata de 1945[108]. Le 3 septembre 2012, il est nommé ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme[23] dans le Gouvernement Sellal I. Il est ensuite nommé ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville dans les gouvernements Sellal II, Sellal III, et Sellal IV. À l’issue de ces deux mois, la proposition de la commission doit faire l'objet d'un dialogue puis être adoptée par le Parlement et soumise à référendum[70]. En effet, initialement donné comme le candidat du système, ce dernier nâarrête pas dâencaisser les coups durs. Il s’agit de Khaled Tebboune, fils du candidat en lice à la Présidentielle du 12 décembre, et non-moins ancien Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, de Kamel Bouaraba, ex président de l’APC de Ben Aknoun (Alger) et de Djallal Eddine Lamhel, fils de l’ancien wali de Relizane. Les mêmes sources indiquent que la défunte a rendu l’âme après Algérie Il est président de la République algérienne démocratique et populaire depuis le 19 décembre 2019. Le 26 décembre, il préside une réunion du Haut conseil de sécurité, où « la situation dans la région, notamment au niveau des frontières avec la Libye et le Mali » est examinée. Le jour même, conspué par les partisans du Hirak, il est qualifié de « président cocaïne » en référence à l'affaire mêlant son fils[44]. »[91]. Abdelmadjid Tebboune (Arabic: عبد المجيد تبون , romanized: ʿAbd al-Majīd Tabbūn; born 17 November 1945) is an Algerian politician currently serving as the President of Algeria since December 2019 and as Minister of Defence. Abdelmadjid Tebboune a chopé le coronavirus à cause de son fils Khaled. En effet, le fils du candidat aux élections présidentielles du 12 décembre, Abdelmadjid Tebboune, a été auditionné par le juge de Sidi M’Hamed. Les détentions et les jugements prouvent encore une fois que le pouvoir judiciaire est totalement inféodé à l'exécutif ». Il quitte le gouvernement en 1992. Décès de la sœur du président de la République, Abdelmadjid Tebboune Selon plusieurs sources médiatiques, madame Azzi Halima, sœur du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, est décédée ce samedi 31 octobre à l’hôpital d’Oran. Explications. Le principal inculpé, Kamel Chikhi, a quant à lui écopé de 8 ans ferme. Le fils de Abdelmadjid Tebboune candidat à la présidentielle du 12 décembre, comparait ce jeudi 5 décembre devant le procureur de la République adjoint prés le tribunal Sidi Mhamed. Dans un entretien accordé le 4 juillet 2020 à France 24, le président algérien voit en cette restitution l'occasion d'aller « loin dans l’apaisement, dans le règlement du problème de la mémoire »[110]. Le procès de Khaled Tebboune, fils du président Abdelmadjid Tebboune, s’est achevé mercredi soir au tribunal de Sidi M’Hamed d’Alger par un verdict aussi clément que surprenant. La somme exorbitante, alors que le pays traverse la plus sévère crise économique et financière de son histoire, s'explique par la horde d'accompagnants de Tebboune qui sont à son chevet nuit et jour, les déplacements de son entourage, mais également ses soins médicaux. Ali Haddad. Abdelmadjid Tebboune commence sa carrière en 1969 comme administrateur stagiaire[10], puis administrateur en 1972[11] dans la wilaya de la Saoura. Abdelmadjid Tebboune félicite la décision de la France, présidée par Emmanuel Macron, de restituer les crânes de 24 moudjahidine décapités par les forces françaises lors de la colonisation de l'Algérie[109]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ces derniers nâont pas hésité à dévoiler des dossiers compromettants le concernant. Il décide que le Haut Conseil de sécurité sera réuni de manière périodique, à chaque fois que la situation l'impose[56]. Le fils de l’ancien Premier ministre a été conduit de la prison d’El Harrach où il est incarcéré pour être auditionné. Cette affaire appelée communément « lâaffaire Kamel Chikhi dit El Bouchi » a vu aussi lâincarcération de lâancien président de lâAssemblée populaire communale de Ben Aknoun, Bouaraba Kamel ainsi que le fils de lâancien wali de Relizane, Lemhal Djalal Eddine. À cette époque, il prend sa carte au Front de libération nationale (FLN)[12]. Ce qui explique les dizaines d'arrestations de personnes connues et inconnues dans toutes les villes d'Algérie. Poursuite du Hirak et question des libertés, « faire le point au sujet des marchés publics », « harcèlement contre les hommes d'affaires », « une lourde responsabilité de rétablir la confiance brisée entre l'État et les citoyens », « même si le scrutin n'est pas falsifié, les Algériens n'ont plus confiance », « la grande réussite est le fruit du mouvement populaire initié par notre peuple qui a refusé, grâce à sa conscience, l'effondrement de l’État et de ses institutions », « dans le cadre d'un consensus politique et les lois de la République », « la situation dans la région, notamment au niveau des frontières avec la Libye et le Mali », « pour échanger et écouter son appréciation de la situation actuelle et sa vision de l’avenir », « responsable devant l'Assemblée, qui pourrait le renverser par une, « ce mouvement populaire a épargné au pays une catastrophe », « Journée nationale de la fraternité et de la cohésion entre le peuple et son armée pour la démocratie », « l’interdiction des marches et des rassemblements, quels que soient leurs motifs », « une mesure de protection de la santé publique », « où tous les regards, au niveau national et international, scrutent la gestion de la pandémie de Covid-19, les autorités algériennes consacrent du temps à accélérer les poursuites et les procès contre des militants, des journalistes et des partisans du mouvement du Hirak », « Des journalistes et des militants pour la démocratie sont enfermés sous des motifs aussi divers et variés alors qu'en réalité, c'est juste l'expression d'opinions pacifiques qui leur vaut châtiment. Le 2 juillet 2020, à l'approche de la fête de l'indépendance, les opposants Karim Tabbou, Amira Bouraoui et Amir Belarbi sont remis en liberté provisoire[96]. En juin 2020, pour pourvoir les postes laissés vacants, il nomme 15 membres du tiers présidentiel au Conseil de la nation[77],[78],[79]. », « La pandémie est du pain bénit pour le pouvoir en place qui bénéficie d'une chance insolente. Le 1er mars 2020, Abdelmadjid Tebboune déclare, au sujet de l'emprisonnement de plusieurs journalistes, dont Khaled Drareni, et de la censure des médias Radio-M, Maghreb émergent et Interlignes : « Il y a 8 000 journalistes et, pour trois ou quatre d'entre eux qui ne font pas partie de la presse nationale mais de la presse étrangère, financée par l'étranger, il y a eu tout un boucan autour d'atteintes à la liberté de la presse. Algérie : poursuivi pour corruption, le fils du président Abdelmadjid Tebboune acquitté. Candidat indépendant, il reste cependant membre du comité central du FLN[36]. Le gouvernement est remanié à la suite de la pandémie de Covid-19 et afin d'endiguer ses conséquences économiques, des titulaires plus techniques sont nommés[81]. Cette rencontre entre dans le cadre des consultations sur la révision de la Constitution[61]. Les détentions et les jugements prouvent encore une fois que le pouvoir judiciaire est totalement inféodé à l'exécutif », « c'est le retour à l'ordre de fer, le même qui, dans les années 1970, imposait à toutes les Algériennes et tous les Algériens de la boucler et de filer droit », « à une trentaine de personnes pour lesquelles une décision de justice avait été rendue ainsi qu'à d'autres pour lesquelles aucun verdict n'a été prononcé », « loin dans l’apaisement, dans le règlement du problème de la mémoire », Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste, Président de la République algérienne démocratique et populaire, Ministre délégué aux Collectivités locales, Ministre de la Communication et de la Culture, Présidents de la République algérienne démocratique et populaire, président de la République algérienne démocratique et populaire, Association des oulémas musulmans algériens, Rassemblement pour la culture et la démocratie, Autorité nationale indépendante des élections, Comité national pour la libération des détenus, Algérie : Abdelmadjid Tebboune, un président entre les mains de l’armée, Tribunal Sidi M'hamed: Kamel Chikhi dit "El-bouchi" condamné à 8 ans de prison ferme, « Algérie : le Premier ministre déjà limogé au bout de trois mois », Le Président Tebboune assure que le Hirak est un phénomène salutaire et met en garde contre toute tentative d'infiltration. Le jour même, Abdelmadjid Tebboune accepte la démission de Noureddine Bedoui et désigne Sabri Boukadoum comme Premier ministre par intérim tout en chargeant le gouvernement en place de gérer les affaires courantes dans l'attente de la nomination d'un nouveau chef du gouvernement. Issu d'une famille originaire de la commune de Boussemghoun, actuellement dans la wilaya d'El-Bayadh, située dans la région des Hautes Plaines steppiques du Sud-Ouest algérien . Ces initiatives liberticides relèvent du même objectif qui est de faire taire les Algériens et de leur signifier que les cinquante-six semaines du Hirak n'étaient qu'une parenthèse », « Il y a 8 000 journalistes et, pour trois ou quatre d'entre eux qui ne font pas partie de la presse nationale mais de la presse étrangère, financée par l'étranger, il y a eu tout un boucan autour d'atteintes à la liberté de la presse. Son père est un cheikh membre de l'Association des oulémas musulmans algériens[3] et également un militaire. Ainsi comme signalé par beaucoup d’observateurs. Il est rappelé par le président Abdelaziz Bouteflika en 1999 au poste du ministre de la Communication et de la Culture[19] dans le gouvernement Benbitour, portefeuille qu'il n'occupera que 6 mois, avant qu'il soit rappelé une 2e fois au poste de ministre délégué chargé des Collectivités locales[20] pour le remaniement des walis. Nous parlons de souveraineté nationale. Dans un contexte régional marqué par la guerre en Libye, l'Algérie retrouve une place sur ce dossier[99]. Le fils de lâancien Premier ministre a été conduit de la prison dâEl Harrach où il est incarcéré pour être auditionné. Peu après le début de son mandat, des lois criminalisant la diffusion de « fausses nouvelles » et les « discours de haine » sont adoptés de manière expéditive. Le 12 décembre, après une campagne perturbée par des manifestations importantes jusqu'au jour même de l'élection[41], Abdelmadjid Tebboune est élu par 58,1 % des suffrages exprimés au premier tour, avec une abstention record (60,1 % des inscrits)[42]. Cet intermédiaire avait pour nom : Khaled Tebboune, le fils de l’actuel candidat à la Présidence de la République, Abdelmadjid Tebboune, l’ex-premier ministre en été 2017, qui promet aux algériens de nettoyer le pays de l’argent sale. Il donne ainsi procuration à son épouse pour voter au référendum constitutionnel[115].