Ses lèvres étaient glacées. nécessaire] ». Le loogaroo (lougarou en Haïti) est un lycanthrope des Caraïbes, ayant pris cette apparence à la suite d'un pacte avec le diable. Après avoir repris sa forme humaine, le lycanthrope est affaibli et soumis à des dépressions nerveuses[25]. Dans certains endroits de Bretagne, à Guiscriff par exemple, une autre croyance existait : « Le loup-garou, c'est quelqu'un qui ne va pas à l'église pendant sept ans et qui, pendant ce temps, n'a récité aucune prière. ... jean loup. D'autres auteurs moins connus abondent dans le même sens : Peucer dans Des divinations et Pierre Borel en 1674. Forgée par Henri Pourrat dans son roman Histoire fidèle de la bête en Gévaudan (1946), une autre invention raconte que la bête aurait été abattue grâce à des médailles de la Vierge Marie, portées par Jean Chastel à son chapeau puis fondues pour en fabriquer des balles. Le loup-garou est une créature légendaire : il s'agit d'un être humain qui se transforme en loup à la pleine lune. »[7]. C'est pour cela qu'elle est généralement cultivée comme une annuelle ou une bisannuelle. J'accepte d'être contacté par une agence Partnaire * J’autorise les agences Partnaire à effectuer des contrôles de références auprès de mes précédents employeurs J'accepte de recevoir des communications personnalisées du Groupe Partnaire Créer mon compte ... Dernière modification de cette page le 18 février 2021 à 18:12. Le Rougarou (parfois aussi nommé Roux-Ga-Roux, Rugaroo ou Rugaru) est mentionné par les communautés francophones des Laurentides européennes, les histoires mentionnant cette créature sont aussi variées que l'orthographe de son nom mais elles sont toutes liées à la culture francophone de Louisiane, dérivées du loup-garou français et influencées par les croyances amérindiennes sur le wendigo. Une histoire bordelaise similaire à celle de Pierre Burgeot est rapportée par Jean Grenier d'Aquitaine, accusé de lycanthropie en 1603 alors qu'il était âgé de 13 ou 14 ans : un jeune garçon, Pierre la Tilhaire, l'avait emmené au fond d'un bois, pour lui présenter un grand homme mince vêtu de noir, monté sur un cheval noir. En le voyant, celui-ci lui demanda s'il avait fait bonne chasse. Leur orgie de violence dure les trois nuits de la pleine lune selon la croyance moderne, mais dans les textes anciens, les descriptions mentionnent parfois douze jours après Noël[57]. Ils entraient dans cette fureur guerrière appelée Bärenhaftigkeit lors des combats, il s'agissait d'une frénésie sacrée[n 3] et ces guerriers étaient des combattants d'élite[51]. Il s'était laissé pousser les cheveux et la barbe mais ne consommait ni drogues ni alcool. Si un humain passe à leur portée sans les saluer, ils se mettent à quatre pattes et bondissent sur lui pour le dévorer. Au cours du XVIIe siècle, les explications des médecins au sujet de la lycanthropie clinique mirent un terme à la plupart des tortures et mises à mort. nécessaire]. Lycaon. Deux coups de feu partirent accompagné d'un signe de croix, mais ils restèrent sans effet. Il existe un teika (traduit par « récit » ou « mythe » en letton) où un homme se transforme en vilkacis pour attaquer le troupeau de vaches d'un baron. Il s'agit essentiellement d'hommes violents de leur vivant qui reviennent pour continuer leurs méfaits[126]. Ils s'attaquaient ainsi aux moutons, et lorsque des gens armés de bâtons les poursuivaient, ils s'enfuyaient le plus vite possible. Dans la saga Twilight, les loups-garous se mesurent aux vampires du même univers de fiction. Toutefois, la population demeura longtemps effrayée et préféra les explications magiques[réf. Le cas de transmission par une morsure d'un loup ou d'un autre loup-garou est une invention récente. Leur pouvoir se trouve renforcé durant la nouvelle lune, en hiver et en particulier au moment des solstices, pendant l'avent et entre Noël et la Chandeleur[56]. Deux siècles plus tard, Collin de Plancy, dans son Dictionnaire infernal, publié en 1818, définit la lycanthropie comme une « maladie qui, dans les siècles où l'on ne voyait partout que démons, sorcelleries et maléfices, troublait l'imagination des cerveaux faibles, au point qu'ils se croyaient métamorphosés en loups-garous, et se conduisaient en conséquence. L'historien Julien Alleau précise que « le loup dévoreur est perçu tout d'abord comme un loup, puis son identité change (...) il devient un loup que l'on qualifie de « ravissant », de « cruel ». J.-C.). Un tueur en série comme Gilles Garnier est l'un des rares cas de lycanthropie répertoriés comme tel dans les annales de la justice française[37]. En 1521, Pierre Burgeot et Michel Verdun furent accusés de lycanthropie et racontèrent une étrange histoire : dix-neuf ans plus tôt, Pierre gardait son troupeau de moutons quand un violent orage éclata. nécessaire]. Selon la tradition arménienne, certaines femmes coupables de péchés mortels sont condamnées à passer sept ans en forme de louves. D'autres témoins signaleront cette créature dont la légende de la Bête de Bray Road. Les loups-garous sont très craints des populations et particulièrement actifs le soir de Noël, où ils assiègent les maisons de ceux qui vivent au fond des bois avec une extrême fureur, défonçant les portes des habitations et des étables pour dévorer les hommes et les bêtes. En France, en Italie et en Allemagne, l'homme peut se transformer en loup s'il dort seul dehors par une nuit d'été certains mercredis ou vendredis et si la pleine lune brille directement sur son visage[25]. La bête est au centre de sagas d'horreur, en particulier Hurlements et Underworld. Prendre la peau d'un loup, la poser sur soi comme on porterait un pagne, puis se placer aux limites du grand cercle et rester dans cette position jusqu'à ce que le feu s'éteigne. Le chiffre sept, souvent considéré comme un chiffre saint et sacré[58],[59], est fréquemment[évasif] associé aux lycanthropes[réf. Oborot signifie littéralement un transformé en russe. Déshérité par le noble Ponce de Chapteuil, il s'exila dans les forêts et se transforma en loup-garou pendant la pleine lune « Une nuit, sous le coup d'une terreur excessive qui provoqua une aliénation de son esprit », il s'attaqua aux enfants comme aux adultes, força des agriculteurs à quitter leur foyer et ses actes cruels se multiplièrent. La dévotion à saint Hubert est à la fois un remède et une forme de protection contre les lycanthropes[33]. Ils partaient à l'assaut en poussant des cris de bêtes et des hurlements de loups[52], leurs adversaires se croyaient ainsi en face de guerriers mi-hommes mi-bêtes. Gravure de Bernard Picart, XVIIIe siècle. Vers 1977, une femme de quarante-neuf ans se prenait pour une louve et en adoptait le comportement. Cette transformation peut être due à plusieurs causes, comme une malédiction ou un rituel volontaire, et plus récemment la morsure ou griffure d'un loup ou d'un autre lycanthrope. Alors que le Wendigo est à craindre, il note que le rougarou est considéré comme sacré et en accord avec mère nature, un peu comme dans les légendes à propos du Bigfoot aujourd'hui[10]. Elle se déclenche généralement durant la nuit et à chaque pleine lune, condamnant le lycanthrope à errer sous forme de loup jusqu'au matin. Davies, vint chasser deux années de suite en Bretagne, probablement en 1854 et 1855, mais ne publia ses souvenirs en anglais que vingt ans plus tard en 1875. Au Ier siècle, Arétée de Cappadoce parle de certains hommes persuadés être faits de verre et craignant donc d'être cassés, auquel cas ils seraient transformés en loups ; travaillés par les appétits et les affres de cet animal féroce, se jetant sur les troupeaux et les hommes pour les dévorer, sortant la nuit de préférence, hantant les cimetières et les monuments, hurlant à la mort, avec une perpétuelle altération, les yeux enfoncés et hagards, ne voyant qu'obscurément comme s'ils étaient entourés de ténèbres, les jambes meurtries par les égratignures et les morsures de chiens[78],[55]. Dans certaines versions (notamment au nord-ouest de la Bulgarie), il s'agit d'un démon loup qui avale occasionnellement la Lune et le Soleil, causant ainsi des éclipses comme le fait le loup Fenrir de la mythologie nordique[124]. Une tradition russe rappelle qu'un lycanthrope peut être reconnu grâce aux poils sous sa langue[25]. Il peut quitter sa peau (en la laissant généralement sous l'« Arbre du Diable », arbre à cotton) avant de chasser ses proies afin d'en offrir le sang au démon[11]. ], les personnes nées pendant la pleine lune sont aussi considérées comme susceptibles de devenir des lycanthropes[64]. Emil Petro Vici découvrit les légendes sur le pricolici durant ses voyages en Roumanie pendant les années 1930. Il se rendit auprès d'elle et la trouva blessée, cachant son avant-bras droit. Le lendemain matin, il les escorta jusqu'à l'orée de la forêt. Le bisclavret redevient humain et le baron comme l'épouse infidèle sont bannis. Le cas des loups enragés est particulier car ils s'attaqueraient alors plus volontiers à l'homme, en portant leurs attaques à la tête de leurs victimes, contrairement aux loups sains qui procèdent par égorgement ou par étranglement[24]. Durant la nuit, d'autres parcourent sept paroisses et font le tour d'un clocher sept fois avant de trouver une place en enfer[56]. Dans le Satyricon, Niceros raconte qu'il était invité au banquet d'un soldat de ses amis qui se transforma en loup. Les nuits de pleine lune sont invoquées comme la principale cause de transformations involontaires en loup selon les croyances modernes, mais elles ne sont que peu mentionnées dans les récits anciens. C’est un loup dont on doit « se garer » (tel est le sens du nom de loup-garou) et, par conséquent, un loup étranger car étrange par son comportement. Il est mentionné dès le XVIe siècle et résulte d'une combinaison des croyances européennes et vaudou[11]. Elle était une garache condamnée à tourner 7 fois autour de 7 villages durant les nuits de pleine lune[116]. Rougarou est une évolution indépendante du terme français loup-garou en Louisiane, région d'Amérique où immigrèrent des colons francophones[10]. Un byline met en scène le Prince biélorusse du XIe, Vseslav de Kiev, considéré comme un lycanthrope capable de se déplacer à des vitesses surhumaines. Ce sont à l'origine des hommes ou femmes coupables des sept péchés capitaux et qui se laissent posséder par Satan[118],[119] ou le Bélial[120]. De nombreux auteurs ont associé l'origine des légendes du vampire et du lycanthrope aux meurtres en série pour lesquels il faut trouver une explication à des époques peu rationnelles. Terrorisée, celle-ci le trahit en demandant au baron qui lui fait la cour de voler les vêtements. Les Latins nommaient la lycanthropie « mélancolie, rage lupine, insania lupina ou folie louvière ». Loup-garou Lycanthrope Un lycanthrope dévorant une jeune femme, gravure du XVIII e siècle. C’est un loup dont on doit « se garer » (tel est le sens du nom de loup-garou) et, par conséquent, un loup étranger car étrange par son comportement. Il est décrit comme un homme couvert d'une fine toison brune mais avec une tête de loup. Malgré les interrogations, la croyance en la culpabilité des loups-garous demeura la norme jusqu'au début du XVIIIe siècle et les hommes suspectés de lycanthropie furent très sévèrement châtiés. Le sorbier peut également être considéré comme efficace, selon cette croyance belge qui veut qu'une maison protégée par l'ombre d'un sorbier soit un lieu sûr[25]. Ils se promènent dans la forêt de minuit à l'aube sans faire de bruit[119], égorgent et dépècent les chiens et le bétail et se désaltèrent du sang de leurs victimes. Les guerriers berserkir pourraient avoir marqué les populations de l'époque et contribué à répandre la légende des lycanthropes. L'une des méthodes les plus classiques pour reconnaître un loup-garou sous sa forme humaine durant la période médiévale et la Renaissance consistait à inciser la peau des suspects et à regarder si des poils s'y cachaient[25], car selon les croyances françaises et québécoises entre autres, l'homme n'a qu'à retourner sa peau pour se transformer en loup-garou[75]. Ainsi un moyen de s'en défendre est de laisser un tas de grains de riz sur le pas de sa porte en espérant que le Soleil se lève avant qu'il ait fini de les compter. Il n'existe que très peu de cas de contaminations par morsures dans les légendes anciennes[25]. Des affaires impliquant la légende du loup-garou sont liées à l'absorption de végétaux aux propriétés psychotropes, ainsi, un soldat américain de vingt ans se prit pour un loup-garou après avoir absorbé du LSD et de la strychnine pendant qu'il se trouvait dans une forêt en Allemagne. Les croyances superstitieuses étaient répandues, comme en témoigne Frank Davies[113] vers 1854 : « Une pauvre gamine de six ans de la région d'Huelgoat avait reçu de ses parents, comme c'était la coutume dans cette contrée, la garde d'un petit mouton noir. En Europe, du XVe au XVIIIe siècle, les procès de loups-garous se multiplièrent et les coupables étaient brûlés vifs. Les birettes se changeraient plus volontiers en loup ou en sanglier, après que le Diable leur en aurait donné la peau. Vous en aurez des frissons ! Dévorer la chair crue d'un loup enragé transforme également en lycanthrope[64]. Elle suivit une longue psychothérapie et connut plusieurs rechutes où elle était en proie à une forte excitation sexuelle et une envie de tuer, notamment pendant les pleines lunes. Le bisclavret ne peut plus retrouver sa forme humaine et réchappe de justesse à une chasse au loup donnée par le roi qui remarque son comportement humain et l'épargne. En 1941, The Wolf Man capte l'imagination du public[159],[158]. Plusieurs théosophes étudièrent les phénomènes parapsychiques et proposèrent des théories similaires, selon Charles Webster Leadbeater, le doublement des blessures était le résultat d'une projection astrale dirigée par la personne blessée, et le transfert de blessure vers le corps matériel s'appelait répercussion. Les registres paroissiaux donnent de longues listes où des loups s'attaqueraient plus particulièrement aux femmes et aux enfants. Au XXe siècle, l'exorciste et voyante britannique Rose Gladden pensait également que le voyage astral pouvait expliquer l'activité des loups-garous. La manifestation de l'hamr s'accompagne d'un accroissement de force, peut prendre l'aspect d'un animal et se jouer des distances et des obstacles. Sur le mont Lykaion, lieu de naissance du roi des dieux (le « mont du Loup », rebaptisé en latin Mons Lycaeus puis mont Lycée en français), des jeux du nom de Lykaia avaient lieu tous les quatre ans. Les voirloups se métamorphosent à minuit, après s'être enduits les membres inférieurs, devant et derrière, avec une mixture nommée l'amalgame[121], ils adressent une supplique à Satan et sont recouverts par le pelage de l'animal désiré tout en conservant l'entendement humain[121]. Le prêtre qui se trouvait à bord du navire demanda une branche de rameau bénit, un trèfle à quatre feuilles et deux balles trempées dans l'eau bénite pour s'en débarrasser, mais le matelot qui lui apporta les objets omit le trèfle ainsi que de tremper les balles. Elles proposent un service attractif et permanent tout au long de l’année, y compris durant les périodes de vacances scolaires. Dans la Saga d'Egill, fils de Grímr le Chauve, le grand-père Úlfr fut surnommé Kveld-Úlfr (qui signifie « le loup du soir »), car chaque soir il devenait farouche et avait envie de dormir. Le cinéma hollywoodien a majoritairement repris et répandu ces croyances concernant l'argent (notamment avec les films Underworld). Jean Wier remet la lycanthropie en doute dans Praestigiis daemonum paru en 1564, tout comme Paulus Zacchias dans Quaestio medico-legales en 1651. nécessaire]. Burgeot accepta en jurant de ne plus se rendre à la messe ni de s'asperger d'eau bénite. Lorsque le vironsusi a retrouvé sa forme humaine, il garde toujours sa queue de loup jusqu'au jour de sa mort[99],[98]. Un lycanthrope /li.kɑ̃.tʁɔp/[1], plus connu en français sous le nom de loup-garou /lu.ɡa.ʁu/[1], est, dans les mythologies, les légendes et les folklores principalement issus de la civilisation européenne, un humain qui a la capacité de se transformer, partiellement ou complètement, en loup, ou en créature anthropomorphe proche du loup. Illustration du mythe de Lycaon. En 1546, Paracelse décrit dans son De Natura les transformations en loup comme réelles, en 1585, Hermann Witekind s'en prend à la sorcellerie dans Christlich bedenken und erinnerung von Zauberey et en 1573, Ambroise Paré décrit la lycanthropie et l'impuissance masculine comme des œuvres du démon dans Des monstres et prodiges. Selon certains contes, on peut retirer la peau de l'arbre afin qu'il ne puisse la retrouver à son retour[11]. Claude Seignolle rapporte qu'en Alsace, on parle encore, dans les campagnes reculées, du gigantesque loup gris fantôme qui hantait les environs de Marlenheim et égorgeait les voyageurs égarés. J.-C. – 79 apr. Lorsqu'il retourna dans la forêt pour obtenir l'onguent, Jean Grenier aperçut plusieurs fois le Seigneur de la forêt en compagnie de quatre ou cinq hommes qui l'adoraient comme l'objet d'un culte ou d'une religion [réf. Selon les Serbes, les Slovènes et dans la région de Cachoubie dans le Nord de la Pologne, si un enfant naît avec des cheveux, une marque de naissance ou une crépine sur la tête, il possède une habileté naturelle à la métamorphose et peut se transformer en l'animal qu'il souhaite, avec une nette préférence pour le loup[77]. Selon Claude Lecouteux, la croyance aux lycanthropes est liée à celle des voyages de l'âme dont elle ne représente qu'un cas particulier. Six semaines s'étaient passées quand un charbonner la retrouva. Bien que les attaques de loups, les berserkers, les symptômes de maladies, de troubles psychiatriques et d'abus de drogues expliquent largement les légendes de lycanthropes, il reste une part de mystère dans leur universalité, et dans le fait que la croyance dans la métamorphose physique et la possession demeure largement répandue. Le Jeu Werewolf: The Apocalypse - Earthblood, permet d'incarner un Loup-Garou; dont l'espèce est en guerre contre les vampires pour protéger Gaïa. Aux Caraïbes, autre région de peuplement francophone, on emploie le nom de Loogaroo[11] ». Il décrit l'incident comme suit : « Quand je me suis retourné vers mon ami, je vis qu'il s'était dépouillé de ses vêtements et qu'il les avait empilés au bord de la route… Il s'assit dans un cercle autour de ses vêtements, puis, comme ça, se transforma en loup ! Parfois, les méthodes employées étaient les mêmes que pour éliminer les vampires[25]. Approche folklorique des contes et légendes des. Dans ces contes, la transformation est généralement involontaire, mais il existe d'autres versions où les femmes peuvent se transformer à volonté[128]. Au cours du repas, ils servirent un plat à base de la chair du plus jeune des fils, fraîchement égorgé, parmi d'autres nombreux plats à Zeus. De la Wallonie à l'Europe », dans, Claire Pahaut, « Le loup-garou et la mémoire populaire. On retrouverait les traces de ce bouleversement à travers la croyance aux lycanthropes[17]. Les enfants ainés des birettes héritent de leur aptitude démoniaque à la métamorphose, même s'ils sont de bons chrétiens dégoutés par les pratiques de leur mère, et sont condamnés à se changer en birettes à leur tour, qu'ils l'acceptent ou non, puis à transmettre cette tare à toute leur descendance[52]. Selon lui, le loup-garou était une manifestation directe de l'intervention du Diable : Satan abandonnait le lycanthrope endormi dans un buisson et en faisait sortir un loup. nécessaire]. Les lycanthropes sont très proches des vampires dans le sens où le loup-garou est un pont entre l'homme et l'animal, un animal bestial qui détruit et dévore le monde, le vampire est un pont entre le monde des vivants et celui des morts[55]. Philippe Aubert de Gaspé, Claude Gonthier, Bernard Meney. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Pour la seconde tentative, le fusil fut chargé avec un chapelet et le coup dispersa la meute[61]. Il arrive aussi que les lycanthropes s'unissent avec des louves, de leurs propres aveux, le plaisir qu'ils prennent avec ces animaux est aussi intense, sinon plus, que celui qu'ils prennent avec les femmes[54]. À ce moment-là, il devra retourner dans sa peau sans avoir eu l'occasion d'attaquer quelqu'un. Il s'agissait d'un homme qui vivait autrefois avec son épouse dans le sud-ouest du Leinster. Il a cependant des habitudes compulsives et compte sans cesse les grains de sable sur le sol. La Lune n'est pas le seul facteur entrant en ligne de compte. Certaines théories ésotériques se sont développées en s'inspirant des croyances nordiques anciennes à propos de la Fylgja et de hamr, l'âme animale. En roumain, ce nom dérive de vukodlak, вълк (vâlk)/вук (vuk), signifiant « loup » et dlaka, signifiant « fourrure », et décrit à l'origine un lycanthrope (Fourrure du loup littéralement).